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Lucie : animatrice de campagne en pleine pandémie

Portrait de Lucie Caille, animatrice de campagne
par Eloisa Gonzalez


Lucie a rejoint le Parti socialiste genevois comme animatrice de campagne à 40% en mars 2020. Elle a 27 ans, vient de Fribourg et réside à Genève depuis 5 ans où elle est venue pour ses études de bachelor à la HEAD. Avant de commencer un master à la HEAD en art visuel, spécialisation sur l’art socialement engagé, elle a travaillé dans le milieu culturel en effectuant des stages aux cinémas du Grütli et au festival culturel Belluard à Fribourg.

Elle dit être arrivée un peu par hasard au PS, même si ses expériences semblent prouver le contraire. À Fribourg elle dépouillait les votes dans sa commune quand elle était plus jeune. En outre, cette dernière année, elle a activement contribué à la création de l’association d’étudiant-es de la HEAD. L’objectif est qu’elle soit pérenne quand elle quittera la HEAD en juin prochain. Ce projet a engendré beaucoup de questions politiques et organisationnelles. Le poste d’animatrice de campagne du PS a fait résonance de par les nombreuses convergences existant entre politique, culture et formation. Elle y a vu des connexions entre les faits, la réalité et la création. Sa curiosité l’a poussée à postuler pour s’ouvrir à d’autres manières de fonctionner.

Elle collabore aux actions de mobilisation : organisation des stands, des tractages, présence à des manifestations. Elle nous appelle, nous rappelle, se rend sur place et prend des photos et témoignages pour alimenter les réseaux sociaux. Ses débuts, alors que nous étions en pleine première vague de la COVID-19, n’ont pas été évidents. Mais elle a pu rencontrer enfin les camarades directement et établir des contacts avec notre camarade Jean-Pierre Tombola, nouveau chargé de mobilisation au Comité directeur. Elle trouve que la forte motivation des militant-es donne beaucoup de sens à ses tâches et en est très admirative.

Elle est ravie de ses premiers mois au PS. Un emploi à temps partiel qui correspondant à un choix, un mode de vie qu’elle souhaite faire durer en tous cas à moyen terme pour lui laisser plus de temps pour d’autres projets, notamment dans le domaine de la culture
maraîchère.

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